Le mariage est considéré comme la relation la plus importante et la plus sacrée sur terre entre les hommes et les femmes, c’est ce lien juridique et juridique que les deux résolvent l’un pour l’autre, à travers lequel la progéniture humaine continue d’augmenter et de grandir, mais parfois cette relation frappe une sorte de vibration qui oblige ses propriétaires à la réparer afin de la poursuivre ou de la résoudre par l’une des méthodes juridiques et juridiques stipulées dans la loi islamique et dans le droit positif. Il s’agit soit d’un divorce par le mari, soit d’un divorce à la demande de la femme par décision judiciaire en cas de disponibilité de l’un de ses cas prévu à l’article 53 du Code algérien de la famille, et dans des cas exceptionnels par le déplacement de la femme.
Mais au cours de la dernière période et depuis la modification de la loi sur la famille en 2005, l’exception est déjà devenue l’inverse, où après avoir assoupli les conditions de dislocation de l’article 53 bis, nous avons constaté une augmentation terrible et effrayante des cas de dislocation au niveau national, qui augmente considérablement, car elle a atteint 2018 sur la base des statistiques publiées par le ministère de la Solidarité 13 mille cas de dislocation, soit 19% du nombre total de divorces en Algérie Avec 65.637 cas, statistiques de la Ligue algérienne pour la défense des droits de l’Homme (ADR) - une organisation non gouvernementale - en 2018, il y a eu plus de 68.000 divorces, soit une augmentation de 3.000 par rapport à 2017 par rapport aux années précédentes, l’Algérie se classant 8ème dans le monde arabe et 73 au niveau international dans ce domaine.
Par conséquent, à travers ces chiffres terribles et effrayants pour la dissolution du lien conjugal des méthodes de divorce ou khula, nous posons la question suivante: Le recours d’une femme à khula est-il l’utilisation de son droit de dissoudre le lien conjugal après des tentatives de le réformer ou d’utiliser arbitrairement ce droit sans tenter de réformer la relation conjugale ou est-il impératif pour la femme de recourir à pour briser l’association de mariage?